On peut dire que ce récit est un roman d’apprentissage. En effet, au fil du récit, Verte évolue et s’affirme. Elle apprend à se connaître. Elle finit par accepter sa condition de sorcière en l’utilisant, comme elle l’entend et à de bonnes fins. Pour cela, le soutien de sa grand-mère la guide. Leurs échanges aident l’héroïne à trouver qui elle veut être. Dans le même temps, on s’aperçoit aussi que la nature est toujours présente pour Verte.

La nature a plus d’influence sur notre protagoniste qu’il n’y paraît. Cela commence par l’origine de son prénom qui lui est expliquée par une amie proche d’Anastabotte. Ensuite, on peut constater que les évènements importants et les prises de décision de Verte sont toujours précédés par un contact avec la nature. Elle aussi influence Verte dans ses choix. Cette héroïne cultive son jardin au sens propre comme au sens figuré. Notre apprentie a décidément beaucoup d’atomes crochus avec les fleurs et les plantes pour devenir une sorcière bienfaisante et accomplie.